Pour ceux qui ont célébré le Nouvel An Chinois, nous voilà
depuis presque une semaine « entrés dans l’année du Serpent ».
L’année
passée, placée sous sous le signe du tumultueux Dragon, nous a fait expérimenter
grands remue-ménages et situations extrêmes ! Il semblerait que le
mystérieux Serpent donne le ton de ce qui reflète ses caractéristiques
intrinsèques : du mystère oui, de l’introspection, de la réflexion aussi.
Bref
un véritable retour, pour chacun ... sur soi-même.
Peut-être dans l’optique d’une évolution des consciences plus
concrète ?
C’est ce que nous pouvons souhaiter de mieux, pour tous les
peuples de la terre et pour cette Terre qui nous accueille.
Origines du Nouvel an
chinois : elles remontent à l’Antiquité. Plus précisément c’est sous la dynastie des
Zhou (1122 av. JC – 256 ap JC) que le solstice d’hiver est né, marquant le
début de la nouvelle année lunaire. La
date de cet événement, célébré de façon très festive par les chinois est déterminée
par le solstice d’hiver. « L'empereur ce jour-là devait
accomplir des rites en l'honneur du ciel. Petit à petit cette coutume se
popularisa pour devenir le jour de la vénération du ciel et des ancêtres. Elle
débute le onzième jour du onzième mois du calendrier lunaire pour s'achever le
dernier jour du douzième mois lunaire. »
C’est la symbolique du
renouveau qui caractérise cet événement, celle de l’hiver qui fait place aux
beaux jours ; comme dans nos vies l’occasion chaque année de tourner une
page, de faire place aux projets en herbe, aux idées fleurissantes ...